L’une des plus récentes mesures conçues par l’administration Trump pour affecter l’économie cubaine, c’est l’interdiction aux citoyens américains d’importer le rhum cubain vers les États-Unis. Face à cette situation, la marque Havana Club n’arrête pas son épanouissement et opte pour maintenir la croissance, grâce à une histoire qui l’appui et le permettre diviser une projection vers le future.
Sergio Valdés Dorta, Directeur de Développement du Marché d’Havana Club International S.A. a expliqué à l’Agence Cubaine de Nouvelles que la mesure inédite du gouvernement américaine, provoque que les citoyens de ce pays qui visitent Cuba —et d’autre des plus de 120 pays où est présent le rhum Havana Club—, pourraient déguster cet excellent produit mais ils déploreront la malchance de ne posséder pas l’ocassion de s’amuser avec cette marchandise chez sa maison.
Quand les citoyens américains visitent l’île de Cuba, fréquentent les lieus publiques et privés, et partagent avec touristes des autres nationalités et avec cubains ; dans ces endroits, Havana Club est omniprésent. Les ventes Duty Free à Cuba —tous les voyageurs inclus— ne surpasse pas le 10 pour-cent du total de ventes qui se réalisent à Cuba.
Pour cette raison, cette limitation constitue un préjudice pour la marque et surtout pour les consommateurs ; bien qu’il existe beaucoup des rhums de bonne qualité dans le monde, il faut dire avec certaine fierté que le rhum cubain est situé entre les meilleurs, a commenté Valdés Dorta.
Le cadre directeur a précisé qu’à travers des conversations soutenues avec bartenders américains, ils ont montré une impression favorable du rhum cubain à cause de la qualité et diversité de la gamme des rhums Havana Club. Ils rêvent de posséder ce produit pour ses bars, en dépit de l’interdiction imposée pour l’embargo qui proscrit la commercialisation de ces boisons dans les États-Unis. Certain jour de l’avenir, la vérité arrivera aux verres du consommateur américain, a dit Valdés Orta.
Havana Club poursuivra sa stratégie qui le a permet d’acquérir la troisième place comme rhum international, malgré l’impossibilité d’accéder au marché américaine. La marque a prévu consolider sa position dans les marchés où elle a obtenu un niveau important de ventes et souhaite de continuer sa présence dans les marchés alternatifs.
L’entreprise continuera en diversifiant sa gamme traditionnelle avec nouvelles offerts et en amplifiant sa capacité productive pour pouvoir accomplir l’exponentielle demande.
Pour l’accomplissement ce projet, elle compte avec un héritage de qualité préservé pour les Maîtres du Rhum Cubain et dispose de la professionnalité et de la passion du grand réseau de distribution local et international ; et de la nouvelle plate-forme de communication international et intéressants innovations, a manifesté le cadre directeur.
Valdés Dorta a dit que Cuba est le berceau du connu Rhum Léger qui s’a répandu pour les autres pays, avec une histoire de plus de 150 ans ; pour cette raison, le rhum est une partie intégrante de la culture cubaine.
La marque Havana Club a été registrée dans les États-Unis après la décennie de 1970 par une entreprise cubaine. Ce registre a été renouvelé et maintien pleine légitimité jusqu’à 2026, fait qui nous permettions admettre que le seule vrai rhum Havana Club c’est le cubain et que le registre de patente —les États-Unis inclus— appartient au pays de la Caraïbe.

