Le parcours vital de Noemí del Toro a été lié toujours à cette industrie qui récemment lui a reconnue comme une de ses Maîtres du Rhum Cubain. Elle est née et elle a vécue jusqu’à les 37 ans à trois rues de distance de l’ancienne Compagnie Bacardí. Petite, l’horaire familier s’organisait par le bruit de l’usine : «Pour me réveiller, pour entrer à l’école, pour le déjeuner et pour le repos», elle raconte.
Pour ce raison elle sentait l’usine comme une chose mystique, elle regardait avec curiosité les piscines de froidure de la distillerie quand elle transitait à travers de l’Autoroute Bacardí, et scrutait avec attention la fumée de la cheminée qui considérait comme un Géant».
Quand son école a été détruite par un cyclone, dans l’usine ont aménagé un local. Les cinquième et sixième années scolaires agissaient dans l’industrie, entre l’odeur des miels de canne à sucre et les connaissances initiales acquis dans les cercles d’intérêt.
«M’a impressionné beaucoup les entrepôts de vieillissement que à mon avis étaient grands hangars qui gardaient les mystères —maintenant je dis les bijoux— parce que la plupart du temps étaient fermés. Aujourd’hui je pense que les opérations s’agissaient pendant l’horaire qui nous fassions les cours ; par contre tout le mystère réveillait mon intérêt pour cette activité».
Grâce à une justice poétique, Noemí del Toro est maintenant une des gardiennes des secrets qui a fait unique le rhum léger. Pour arriver à la poste de directrice l’UEB [Unité d’Entreprise Basique] du Rhum Santiago, et finalement au grade de Maîtrise du Rhum, elle a accompli un long apprentissage qui commençait bientôt après sa promotion comme Ingénieure en Chimique dans la CUJAE (Ciudad Universitaria [Ville Universitaire] José Antonio Echeverría).
«Dans la démarche de mes études universitaires, j’ai réalisé stages dans la distillerie et dans ce lieu par première fois j’ai connu la personne qui a été mon paradigme : le Premier Maître du Rhum Cubain José Navarro Campa ; après ma promotion, à cause de ma famille j’ai dû retourner à Santiago et mon placement était lent. Par fortune mes partenaires et moi nous sommes élus pour travailler dans la Rhumerie Santa Cruz et cette opportunité m’a permis visiter comme observatrice la mise en marche de la nouvelle distillerie (année 1980)».
Ce procès l’a permis confirmer son amour pour cette activité, et surtout observer «la consécration, l’intelligence et la bonne communication du maître José Navarro chaque fois qu’il prenait en marche tous les équipes».
De retour à Santiago de Cuba elle a débuté à travailler dans la connue pour cette époque comme l’Entreprise de Boissons. Le reste de cette histoire se résume dans les 12 ans de Spécialiste du Département Technique. Après elle était élue comme la Chef de Bâtiment, premier degré dans la Direction qui ne signifiait pas son délié du procès productif et de l’activité technique. Noemí del Toro apprend de toutes les personnes qui elle connaît : l’ingénieure Mayra Mayet, Mirian Dorado et Rafaela Sarret, le Maître Tranquilino Palencia ; et la collègue Rosa Julia Lora de la Distillerie.
Quand l’on questionné sur le caractère spécial du rhum Santiago elle répondait : «s’explique pour l’amour de l’équipe pour les choses bien faites, pour le travail en fonction de l’amélioration continue, pour le défi d’obtenir tous les jours la transmission des connaissances et l’ouvrage en fonction de l’excellence, pour le respect de la culture du rhum cubain en pour l’honneur rendu à l’histoire de plus de 157 ans du rhum léger cubain».
À 2011 elle a reçu la catégorie d’Aspirante à Maître du Rhum Cubain et a commencé sa préparation spéciale, de manière particulière sous l’attention du Maître Julio Ayan Rial. Elle croit qu’être maîtrise n’est pas seulement le résultat d’une période de préparation spéciale, c’est la conséquence d’une vie consacrée à cultiver ses connaissances, d’un style de vie «qui identifie valeurs et principes inviolables».
Noemí s’est uni à Salomé Alemán, les deux uniques femmes entre dix personnes reconnus comme les déposantes de la tradition du rhum et responsables de son développement.
«Je crois qu’a pesé l’héritage des taboues de la société passée, où le rhum était vu comme un produit pour les hommes seulement pour sa dureté, pour les lieus où l’on buvait, parce que les grands affaires étaient associés par exclusivité aux hommes. Mais aujourd’hui cette situation a changée ; il existe la possibilité d’être Maître ou Maîtrise du Rhum Cubain. La possibilité est basée dans la réussite des réquisits qui ont défini ce mouvement et l’amour qui chaque un l’apporte aux tâches».
D’abord elle continuera dans le travail qui a permis le prestige du «bon rhum cubain qui doit accomplir avec sa tradition, laquelle ne doit pas tromper au consommateur et doit posséder les attributs qui le client préfère, à partir du concept de produire avec la qualité qui identifient les personnes que sachent boire. Seule d’après le vieillissement naturel et sans aditifs qui simulent les arômes et saveurs artificiels, ils peuvent réaliser les mélanges de baises vieillis qui ont été gardés après d’un siècle et demi par les Maîtres du Rhum Cubain.
C’est clair qu’elle regarde son travail comme un sacerdoce ; pour cette raison la récente distinction a signifié pour elle que «ma vie a eu un sens correct et que je rêve que se maintient le mouvement des Maîtres du Rhum Cubain pour sa condition de fil conducteur de nôtres traditions et culture du rhum».