Texte. Kenia Tabares Robles
Photos. José Vladimir Pérez García
Santiago de Cuba, 8 août.- Face aux pressions économiques, politiques et culturels que le gouvernement des États-Unis d’Amérique impose à Cuba, plus d’une centaine d’américains membres de la brigade «Venceremos» visitaient la Mayeur des Antilles. Inspirées pour le message de solidarité qu’il y a 50 ans défendent les brigadistes, cette génération conserve sa position vis-à-vis l’embargo économique, commerciale et financière des États-Unis au peuple cubain.
Dans la ville de Santiago de Cuba, ils faisaient un programme des activités comme les visites aux lieux d’intérêt historique et socio-culturel. Le Musée du Rhum, situé dans la Rhumerie Santiago, était une escale obligatoire dans le périple.
Les brigadistes chez Fernando González Llort –Président de l’Institut Cubain d’Amitié avec les Peuples (ICAP)– et les représentantes du siège local de l’ICAP, ont été reçues par Liliana Mengana –Directrice Générale de l’entreprise mentionnée, partie de la Corporation Cuba Ron S.A. –, les membres du Conseil de la Direction, deux Maîtres du Rhum Cubain –d’huit maîtres qui habitent à Cuba–, le Directeur du Musée du Rhum et travailleurs de l’institution.
Pendant sa visite aux salles d’exposition, les membres de «Venceremos» se sont intéressés par l’histoire et le procès de la production du rhum léger cubain, berceau attribué à Santiago de Cuba après 1862. Dès cette date, la terre du genre du «son» protège cet attribut de la culture et la tradition cubaines. Elle sauvegarde cette tradition au haut étalage au niveau mondial.
Les Maîtres du Rhum Cubain Tranquilino Palencia Estruch (Tano) et Julio Enrique Ayan Rial, ont expliqué que le rhum «ne appartenait pas à la politique ou l’économie parce-que la tradition et la culture n’acceptent pas la marchandisation». Au même temps ont reconnu trois éléments déterminants de la célèbre boisson : «le rhum cubain pourrait être élaboré seulement avec la canne à sucre cultivé à Cuba ; sous les conditions de climat de notre pays ; et grâce à la tradition et les savoirs du maître du rhum à Cuba».
Après prolongés applaudissement et acclamations ont conclu le rendez-vous avec la dégustation du rhum «añejo» [vieilli] Santiago de Cuba. Ce réception a montré les réseaux d’amitié entre les deux peuples et la satisfaction de partager avec les cubains.
Les brigadistes ont connu aussi que les résultats économiques de la Rhumerie Santiago de Cuba sont perçus par le peuple cubain et qu’ici se produisent beaucoup de marques du rhum, chacune avec différents présentations.

